Horreur de sa ! [ July ]

Le soleil se levait lentement sur Wolf-Dog alors qu’un nouveau camion entrait dans la cours de l’endroit. Des jappements puissants et féroce se faisait entendre venant du véhicule, se qui semblait surprendre plusieurs jeunes musheurs. Deux hommes se trouvaient en cet instant dans le véhicule qui ralentissait dans la cours enneigé. Lorsque le monstre de métal se fut enfin immobilisé, un homme de stature assez imposante en sortie. Il ne semblait pas particulièrement content et il avait un bandage à la main droite. Il était une des nombreuses victimes des morsures de Zeith, mais il le comprenait dans un certain sens. Ce chien avait été recueillit alors qu’il se faisait frapper par ses anciens propriétaires. Il ne pouvait pas être emmené au chenil immédiatement car il portait des blessures demandant des soins. Il devait également recevoir ses vaccins, choses qu’il n’avait jamais reçues et sa patte arrière droite devait être vérifiée. Bien entendu elle n’était pas cassée, car il pouvait se porter dessus, mais elle semblait légèrement amochée par les coups de pieds répétitifs.

S’approchant de l’arrière du camion, il ouvrit les portes pour laisser voir un chien-loup. Cette merveilleuse bête portait une muselière pour éviter les incidents et il portait même un large collier avec pointe pour le retenir convenablement. L’homme prit rapidement la laisse pour l’attacher et le faire sortir. A peine ouvrit-il la cage que Zeith essaya de lui sauté à la gorge. La réaction de l’homme fut rapide. Il se contenta de refermer la cage et il attendit que le chien veuille bien se calmer. Pendant environ 10 minutes, le chiens gronda comme un fou furieux en mordant les barreaux le plus fort qu’il le pouvait. Mais bientôt, l’épuisement se fit sentir et il se calma enfin. L’homme put ouvrir la cage et faire sortir le chien. A peine avait-il posé la main sur le collier de ce dernier que Zeith poussa un hurlement a glacé le sang des morts. C’était qu’il jouait particulièrement bien la comédie en plus.

- Aller Zeith ferme la maintenant …

L’homme tira sur la laisse et le chien-loup n’eut d’autre choix que de suivre l’homme. Se débattant le plus que son corps épuisé le pouvait, il poussait jappement horrifiant et couinement désespéré. Entrant dans la clinique vétérinaire, l’homme sentit le chien se tendre encore plus sur la laisse.

- KAÎ KAÎ KAÎ

Couinant le plus fort qu’il pouvait se le permettre, Zeith tenta de rompre la laisse en la mordillant. Mais il se fit corriger presque immédiatement. Il tenta de mordre, mais sans succès, car il avait encore la muselière autour du museau. Les oreilles couché, les dents a découverts et la queue entre les pattes, il était terrorisé.

La journée s’annonçait rude et longue, très longue… Le réveil de July sonna sur les coups de 6h30. La jeune femme brune ouvrit les yeux, émergeant de son sommeil. Elle cligna des paupières et se leva, avec difficulté. Elle était fatiguée, comme souvent ces temps-ci. Le mushing lui manquait, tout comme les nuit passée sous la tente, près de ses chiens… Mais tout cela n’était que le passé, un passé bien lointain, qu’elle ne pourra jamais refaire. July effaça cette pensée. Elle se déshabilla et entra dans la douche. De l‘eau bouillante gicla de la pomme de douche, réchauffant son âme meurtrit. L’eau mouilla ses cheveux bruns. July en profita pour les laver. Une fois propre, elle sorti de sa douche, une serviette enlaçant ses chevaux, une autre enlaçant son corps, nu. La vétérinaire regarda sa montre. Il lui restait une demi-heure avant d’aller à la clinique. Du travail l’attendait, beaucoup de travail. La neige était bien tombée cette nuit, elle devait donc déblayer le parking de la clinique et faire chauffer les serrures, pour pouvoir les ouvrir. C’était assez courant qu’elles gèlent, surtout en hiver. Il existait bien évidemment des produits anti gèle, mais July n’y croyait pas, et n’avait pas envie de gâcher de l’argent pour cette chose, alors qu’il suffisait de les réchauffer avec un brûleur à gaz, ou bien tout simplement avec de l’eau chaude…

Après s’être habillé d’un T-shirt à manches longues, d’un polaire à capuche, d’un jeans bleu et de grosses chaussettes, Ju’ revêtit son manteau et ses chaussures en cuir, bien chaude et idéale pour la neige ou la marche en montagne. July sorti de chez elle. Il faisait – 32°C. Elle prit une pelle, et son brûleur à gaz, puis se dirigea vers la clinique. Une fois devant la grande porte verrouillée, July chauffa la serrure, ouvrit la porte et déblaya le parking de la clinique. Bien sûr, elle n’enleva que la surplus, laissant une bonne couche, déjà tassée… Ensuite, elle alla voir tous les animaux qu’elle avait en pension, surtout des chats en cette période de l’année. Les chiens étaient vulnérables en hiver, car ils sortaient sans se rendre compte qu’ils se brûlaient les poumons. Heureusement, il n’y avait rien de bénin, car les cas de brûlures pulmonaires étaient descellés très rapidement ! Dehors, un camion se gara. Julie regarda par la fenêtre, se demandant ce qu’il y avait de prévu à cette heure-ci. Elle regarda ses dossiers et se souvint qu’elle avait la visite d’un futur pensionnaire de Wolf Dog. Un chien-loup ! Pour avoir la permission de garder un tel animal, July avait du remplir un tas de papiers administratif, comme si un chien loup traumatisé avait un comportement différent d’un chien traumatisé… Malheureusement, la loi était faite ainsi, par des gens qui n’y connaissent rien !!

Julie accueilli un homme, tenant par la laisse le chien loup en question. Ce dernier semblait apeuré et éreinté. July invita l’homme à la suivre jusque dans la salle de consultation. Elle lui demanda de monter l’animal sur la table, qu’elle abaissa au maximum. Une fois le chien sur la table, July la remonta, puis posa une main sur le dos. La vétérinaire remarqua immédiatement les poils secs et les croutes. Le chien loup avait sûrement du se faire taper dessus. Il était également déshydraté. Mais avant tout, July prépara les vaccins. Elle demanda à l’homme de lui donner son carnet de vaccination, s’il en avait un…

J’étais horrifiée de voir un chien dans cet état. Qu’il soit loup ou chien m’importait peu. Sa détresse était réelle, et importante. Sa déshydratation montrait qu’on ne s’était pas occupé de lui. J’avais envie de hurler, hurler au monde combien on peut être méchant et insensible face à cela !! J’en avait déjà vu, des vertes et des pas mûres, des chiens dont on avait coupé un bout de patte pour avoir haussé s’échapper, mais là, face à cette bête magnifique, apeurée, pourvu d’une muselière et d’un collier étrangleur à pic, j’avais l’impression que toutes les valeurs que j’avais apprises lorsque j’étais encore qu’une enfant venait de s’écrouler sous moi…

Le soleil n’était pas levé depuis très longtemps, mais il était vrai que le véhicule qui contenait Zeith avait passé la majeure partie de la nuit en marche pour être particulièrement certain d’arrivé a l’heure a la clinique vétérinaire. L’homme qui devait s’occuper d’accompagner le chien-loup jusqu'à la clinique vétérinaire de Wolf-Dog était épuisé par le voyage, mais il savait très bien que de faire voir ce chien par la vétérinaire serait une véritable expérience. Ce chien avait été dans la société protectrice des animaux de l’Alaska pendant près d’une semaine avant de recevoir le consentement du centre qui acceptait de faire passé les tests a Zeith pour voir si il était acceptable de laisser un animal comme lui entré dans cet endroit. Car il était vrai que ce chien pouvait être particulièrement dangereux puisqu’il possédait du sang de loup et que les humains qu’il avait eut dans le passé l’avait battu férocement. Mais pour le moment, la seule véritable chose qui préoccupait le chien était de savoir quel genre de tests cette vétérinaire voulait lui faire passer. Elle avait certainement une très grande chance que les deux hommes qui le conduisait eurent trouvée logique de lui mettre une muselière après qu’il est mordu. C’était pour ce genre de situation parfaitement logique de faire cela avec lui. Mais cet objet, particulièrement inconfortable en soit donnait au chien-loup un sentiment de malaise encore plus puissant, ce qui poussait son caractère imprévisible à ressortir beaucoup plus qu’a l’ordinaire.

Il ne faisait pas particulièrement chaud a l’extérieur se matin là, mais par chance, le véhicule dans lequel la cage de Zeith se trouvait était chauffé de manière a ce qu’Il n’est pas froid, mais c’était illogique venant du fait que se chien était fait pour vivre a l’extérieur. Allongé négligemment dans la cage particulièrement vaste ou il se trouvait, il faisait en autre semblant de dormir. Il était à vrai dire en train de créer son plan d’évasion de cet endroit métallique et dérangeant. Bien entendu le seul véritable avantage venait du sol ou il était couché, il était particulièrement confortable. Mais pour Zeith, qui ressentait de la pression sur sa tête, il ne pouvait se trouver une façon de se placer sans sentir la lanière de cuir brut sur son pelage noir et blanc. Quelques minutes plus tard, le chien-loup sentit la vitesse diminuer, même le moteur de cette carcasse de métal se montrait plus bruyant. Il fallut deux reprises à l’homme pour réussir a faire sortir Zeith du véhicule. Car lorsque l’homme avait ouvert la cage la première fois, le chien avait bondit en avant, essayant de mordre l’homme. Puis, finalement, Zeith fut attaché et sortit de la carcasse de métal. Mais ce chien n’avait pas finit de donner des problèmes, car lorsqu’il vit l’enseigne du vétérinaire et qu’il put sentir l’odeur des médicaments, il se mit à freiner et a couiner comme personne d’autre. Il ne voulait pas allé dans cet endroit puant et croulant sous les poils de chats. Il n’était pas du tout intéresser et on pouvait assez facilement le voir.

Lorsque Zeith vit la femme qui allait s’occuper de lui faire passer ses tests, il la détesta immédiatement. Il montrait les dents, mais les tremblements de ses cuisses et de son corps le trahissaient beaucoup. Ce fut lorsque l’homme suivit la jeune femme vers une table d’examen que le chien-loup commença réellement à se débattre. Il reculait le plus possible pour ne pas laisser la chance à l’homme de le saisir correctement, mais cette boule de muscles semblait habituer de voir des cas difficiles comme lui. Il tira sur la laisse et il saisit le chien à la première occasion. Le déposer sur la table fut cependant tout un exploit. Car Zeith avait commencé à se débattre avec une force assez impressionnante pour son état de santé actuelle. L’homme finit cependant par réussir a le posé sur la surface de métal et le chien-loup la sentit bougé sous lui. Il hérissa son poil et tenta, pour la centième fois de descendre, mais son accompagnateur le tenait particulièrement fermement par le collier. Sa réaction la plus forte se vit seulement lorsque la vétérinaire posa sa main sur son dos. Il se contorsionna pour essayer de la mordre. Mais la muselière était si serrer autour de sa mâchoire qu’il pouvait à peine l’ouvrir pour faire sortir sa langue. Si Zeith n’avait pas porté cette chose affreuse, il aurait très certainement arraché la main de la femme. L’homme le remit en position fermement et le chien laissa entendre un couinement de douleur. Il faisait semblant, mais parfois sa marchait.

Lorsque la femme le lâcha, elle demanda quelques choses à l’homme. Ce dernier fouilla dans ses poches quelques instants avant de sortir un carnet assez épais, mais complètement vierge et plusieurs autre papier expliquant quel était son mélange et il y avait aussi une preuve écrire que la mère de Zeith était un husky pure race. Il déposa le tout sur la table de la jeune femme et il lui adressa un sourire. Lorsque le chien-loup se remit à se débattre, l’homme ouvrit les lèvres.

- Zeith arrête …

Sa voix masculine et forte était remplit de fermeté mais également d’un calme impressionnant. Il savait agir avec les chiens comme celui-ci et il connaissait les avantages du calme. Zeith poussa un grondement puissant et pour toute réponse, l’homme le corrigea, faisant couiner l’animal une nouvelle fois. Il avait soif et particulièrement faim. Ce voyage l’avait épuisé et il avait hâtes de se reposer. Si celle femme l’approchait avec ses aiguilles, il allait lui montré de quel bois il pouvait se chauffer.

Zeith avait bien un carnet de santé, avec le pédigrée de sa mère et le certificat qui désignait bien le père comme un loup. July soupira. Aucun vaccin n'avait été fait. Zeith possédait uniquement une puce, dans sa peau, qui avait été sans doute mit très tôt, avant son sevrage à en lire les dates. La vétérinaire prépara donc tous les vaccins nécessaires: rage, tuberculose, grippe et d'autre encore. Tout cela tenait dans deux seringues qu'elle prépara avec minutie. Une fois les liquides mélangé et près, July prit une seringue et un bout de coton qu'elle aspergea d'alcool. La vétérinaire prit la peau qu'il y avait entre les deux omoplates, la pinça un petit peu, pus piqua et injecta le liquide transparent. Elle effectua la même opération pour la seconde seringue et finit par passer le coton d'alcool sur la zone où elle venait de piquer.

July ne put s'empêcher de caresser le poil rêche de Zeith. Oui, il semblait agressif, il l'était sûrement, mais il méritait un peu de tendresse, dans ce monde fou. La vétérinaire prépara une gamelle d'eau. Elle la posa devant Zeith, sur la table. Le pauvre chien-loup ne pouvait boire avec sa muselière. July l'enleva donc, avec toute sa délicatesse naturelle. Elle regarda l'homme, et lui dit sèchement.

-Laissez-le boire tranquillement !

July en profita pour noter les vaccins sur le carnet et le poids du chien, qu'elle avait grâce à la balance, intégré à la table. Et oui... Même au fin fond du Grand Nord il y a un minimum de technologie ! July laissa Zeith boire, l'observant par la même occasion.

Je voyais en lui plus qu'un loup, plus qu'une bête bafouée par les Hommes. Son esprit était grand, et beau, malgré sont poil tout sec et sa manie d'être agressif. Je me promis, à cet instant, au fond de moi-même que "mon" centre de soin et de réhabilitation ferait de ce chien-loup le plus beau et le plus heureux de tous les nordiques. Devrais-je m'en occuper moi-même ?! Je ne dois pas oublier Nauk, ma petite loupiotte au caractère bien trempé. Peut-être qu'un de mes locataires acceptera de s'occuper de ce chien si beau et si frêle à la fois...

La présence de Zeith dans cette clinique vétérinaire était hors de tout doute un véritable exploit. Tout simplement parce que jamais cette bête n’avait mit les pattes dans un lieu pareil. Lorsque l’homme tendit à la jeune femme quelques papiers, le chien-loup comprit immédiatement que ces nombreuses petites feuilles étaient à lui, parlait DE lui. Juste a y pensé, Zeith coucha encore plus les oreilles. Sursautant violemment lorsque la vétérinaire soupira, le chien-loup laissa entendre un couinement de terreur. Il voulait partir loin d’ici. Retourner dans la nature, la ou personne ne pouvait le trouver ni le toucher. A un endroit où il pourrait enfin vivre une vie loin des êtres humains, les bipèdes qui avaient totalement gâché sa vie et son existence sur cette misérable planète. Mais pour le moment, la pauvre bête se trouvait sur une plaque de métal froide, il était retenu par un humain et il semblait sur le point de se faire injecté des trucs. Il essayait de tout les moyens possibles de se sauver, mais l’homme qui le retenait avait beaucoup plus de force dans les bras que lui dans le corps au complet. Il ne savait plus ce qu’Il pouvait faire pour se sortir de cette impasse. Quelques instants passèrent dans un silence presque complet, brisé seulement par la respiration rauque et effrayer du chien-loup. Soudainement, le chien vit la jeune femme s’approcher de lui avec une seringue pleine de liquide. Il essaya de se tasser, mais l’homme le maintenu particulièrement fermement, l’obligeant ainsi à rester immobile pendant que la femme lui administrait ses vaccins. Lorsque tout fut terminé, Zeith tenta une nouvelle fois de se sauver, sans succès.

Encore une fois, le chien-loup sentit les caresses de la vétérinaire et pour la deuxième fois, il tenta de la mordre, sans y arrivé une nouvelle fois. L’homme était beaucoup trop puissant pour lui. Mais quelques instants plus tard, la jeune femme fit l’erreur de lui retiré sa muselière. Mastiquant doucement pour replacer ses muscles au niveau du museau, il fini par se lécher les lèvres. Il ignorait complètement le bol d’eau que la jeune femme venait de lui offrir. La seule chose qu’elle voulait s’était l’amadouer. Bien que Zeith ait entendu la voix sec et direct de la jeune femme qui s’adressait a l’homme qui le maintenait, il n’allait pas flancher. Tournant lentement la tête pour voir ce que faisait la dame, elle semblait occupé a noté des choses dans son carnet. Il releva légèrement les oreilles mais les recoucha immédiatement. Il venait de réaliser que la seule chose qui le maintenait à présent était la laisse que l’homme qui l’accompagnait tenait entre ses mains. Se détournant brusquement, il mordit avec puissance le bras droit de l’homme. Ce dernier poussa un juron assez fort et il tira sur la laisse, perdant ainsi la respiration, Zeith se laissa tombé sur la table, cherchant son air. Puis, le collier qu’il portait commença à laisser l’air passé. L’homme avait donc cessé de vouloir l’étrangler. Il savait cependant qu’il n’avait pas de chance de sortir de cet endroit vivant s’il continuait ainsi. De plus, il n’en pouvait plus, il était complètement épuisé et ses yeux commençaient à se fermer seul.

Se relevant péniblement, il jeta un rapide coup d’œil à l’homme. Ce dernier le tenait toujours, mais il était en train de nettoyer la légère plaie que Zeith lui avait faite lorsqu’il l’avait mordu. Le chien-loup avait terriblement soif, sa gorge le démangeait et il lui semblait que l’air qu’il inspirait traversait un désert avant d’arriver à ses poumons. Il jeta un coup d’œil au bol d’eau. Miraculeusement, sa petite dispute avec l’homme ne l’avait pas renversé. Il s’approcha lentement puis il abaissa la tête doucement, reniflant la surface silencieusement. Puis, avec hésitation, Zeith fit sortir sa langue pour venir toucher la surface jusque la uniforme du liquide transparent. Il accéléra rapidement sa cadence pour boire l’eau que le bol contenait. Il sentait sa gorge se détendre plus le liquide la traversait et de plus, il se sentait presque renaitre, il pouvait sentir en lui une nouvelle énergie. C’était assez plaisant a ressentir. Lorsqu’il ne resta plus que le plastique légèrement dégoutant du bol devant lui, Zeith releva la tête. Il se contorsionna pour allé mordiller sa cuisse droite, qui lui faisait atrocement mal depuis le dernier coup de pied venant de son ancien maitre. Il n’avait rien de cassé, mais seulement, c’était douloureux. Lorsqu’il eut terminé de se mordiller la cuisse, il se mit lentement en position assise, observant les alentours, guettant tout mouvement suspect venant de la dame. Il fit sortir sa langue de son long museau pour pouvoir se ventiler, il commençait à avoir chaud.

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